le GSARA organise
« J'ai toujours conçu mon travail d'enseignant comme du travail social et vécu avec une certaine idée de la militance. J'explique que la neutralité n'existe pas, que c'est idiot d'imaginer qu'on peut être plus ou moins neutre, que dès lors il vaut mieux savoir qu'on est impliqué et qu'à partir de là il faut commencer des luttes citoyennes. Bref, j'ai un engagement socio-politique et une imbrication philosophique certaine. »
texte de remplacement
Alphonse Bodson
professeur de Sciences humaines et sociales
« Nous vivons dans un pays riche de plusieurs communautés culturelles qui n'est pas une masse homogène. Même s'il y a un langage cinématographique qui est universel, si l'on veut rendre accessible le savoir, il faut prendre en considération les codes culturels de toutes les communautés. C'est pour cette raison qu'il faut penser à des publics et non à un public. C'est une question de démocratie. »
texte de remplacement
Ronnie Ramirez
réalisateur et enseignant dans le monde du cinéma
« Ce qui peut intéresser avec le Coupe Circuit, c'est le sens moral des films. Quand on regarde un film, il faut pouvoir en retirer quelque chose. »
texte de remplacement
Djemma Simonyan
étudiante en communication sociale
« Le film est un très bon outil pour capter l'intérêt des étudiants. Ça ouvre l'esprit au niveau artistique et culturel et ça offre plus de champs de possibilité au niveau des analyses, peu importe le cours. Je trouve que les profs devraient justement en abuser. »
texte de remplacement
Marine Houioux
étudiante en communication sociale