le GSARA organise
« Dans le cadre de certaines formations, on utilise des outils pour éveiller le sens critique aux médias. Dans le cadre de projets scolaires, on réalise des films, des journaux télévisés et autres avec des enfants. On essaie d'amener la critique auprès des enfants pour réfléchir à ce qu'ils entendent, ce qu'ils en retiennent ; de les interroger sur la pertinence de ce qu'ils voient et/ou entendent en leur montrant des petits films. »
texte de remplacement
Virginie Noël
responsable du secteur socioculturel au Centre Culturel Omar Khayam
« J'ai travaillé en tant qu’éducateur dans une institution de Service d’accueil et d’aide éducative avec des jeunes enfants ; avec des personnes porteuses de handicaps et de troubles associés ; dans un SRJ pour jeunes garçons avec des troubles de l’attachement et du comportement ; ainsi que dans une asbl avec des SDF et toxicomanes. Toutes ces expériences montrent ma volonté d'accompagner la personne pour qu’elle puisse être rassurée et soutenue dans son projet de vie. »
texte de remplacement
Mathieu Camassi
éducateur dans un service d’accueil et d’aide éducative
« La pédagogie, c'est l'art de transmettre quelque chose. Quand je fais des films, je ne cherche pas à transmettre un savoir, en disant que c'est la réponse, que c'est ce que vous devez penser. J’essaye plutôt de transmettre des questionnements, des expériences humaines, parce que c'est de l'expérience que peut naître l'apprentissage. C'est ouvert, ça s'adresse à tout le monde, c'est loin de la théorie, c'est accessible. »
texte de remplacement
Anne Closset
réalisatrice
« Il faut être au courant du monde qui nous entoure, des questions sociales puisque ça revient toujours en politique. Les documentaires permettent d'être au courant de ces enjeux. »
texte de remplacement
Maximilien Zabbara
étudiant en communication sociale