le GSARA organise
« J'ai toujours conçu mon travail d'enseignant comme du travail social et vécu avec une certaine idée de la militance. J'explique que la neutralité n'existe pas, que c'est idiot d'imaginer qu'on peut être plus ou moins neutre, que dès lors il vaut mieux savoir qu'on est impliqué et qu'à partir de là il faut commencer des luttes citoyennes. Bref, j'ai un engagement socio-politique et une imbrication philosophique certaine. »
texte de remplacement
Alphonse Bodson
professeur de Sciences humaines et sociales
« Dans le cadre de certaines formations, on utilise des outils pour éveiller le sens critique aux médias. Dans le cadre de projets scolaires, on réalise des films, des journaux télévisés et autres avec des enfants. On essaie d'amener la critique auprès des enfants pour réfléchir à ce qu'ils entendent, ce qu'ils en retiennent ; de les interroger sur la pertinence de ce qu'ils voient et/ou entendent en leur montrant des petits films. »
texte de remplacement
Virginie Noël
responsable du secteur socioculturel au Centre Culturel Omar Khayam
« Chaque éducateur peut utiliser les outils dont il a besoin suivant les activités qu’il veut faire avec les jeunes. En tant qu’éducateur et personne, on s’enferme souvent dans une façon de voir et ces outils nous permettent d'envisager autrement les différentes réalités sociales que vivent nos jeunes en famille. Ils nous aideront peut-être dans la mise en place de projets dans notre institution ou dans notre façon de travailler avec les jeunes que nous hébergeons. »
texte de remplacement
Pierre Delobbe
éducateur dans un service d’accueil et d’aide éducative
« J'ai travaillé en tant qu’éducateur dans une institution de Service d’accueil et d’aide éducative avec des jeunes enfants ; avec des personnes porteuses de handicaps et de troubles associés ; dans un SRJ pour jeunes garçons avec des troubles de l’attachement et du comportement ; ainsi que dans une asbl avec des SDF et toxicomanes. Toutes ces expériences montrent ma volonté d'accompagner la personne pour qu’elle puisse être rassurée et soutenue dans son projet de vie. »
texte de remplacement
Mathieu Camassi
éducateur dans un service d’accueil et d’aide éducative
« La pédagogie, c'est l'art de transmettre quelque chose. Quand je fais des films, je ne cherche pas à transmettre un savoir, en disant que c'est la réponse, que c'est ce que vous devez penser. J’essaye plutôt de transmettre des questionnements, des expériences humaines, parce que c'est de l'expérience que peut naître l'apprentissage. C'est ouvert, ça s'adresse à tout le monde, c'est loin de la théorie, c'est accessible. »
texte de remplacement
Anne Closset
réalisatrice
« J'ai fait des études d'assistant social mais je me suis très rapidement dirigé vers la vidéo comme outil d'atelier. Je travaille pour une association qui essaie de faire évoluer les représentations et les stéréotypes, d'amener un changement des mentalités par la découverte de l'altérité, par l’acquisition d’un respect à l’égard des cultures différentes. Selon moi, dans une ressource pédagogique, le contenu prime sur l'esthétique et sur les prouesses techniques. »
texte de remplacement
Foued Bellali
réalisateur et animateur d'ateliers vidéo
« Nous vivons dans un pays riche de plusieurs communautés culturelles qui n'est pas une masse homogène. Même s'il y a un langage cinématographique qui est universel, si l'on veut rendre accessible le savoir, il faut prendre en considération les codes culturels de toutes les communautés. C'est pour cette raison qu'il faut penser à des publics et non à un public. C'est une question de démocratie. »
texte de remplacement
Ronnie Ramirez
réalisateur et enseignant dans le monde du cinéma
« Le film est un très bon outil pour capter l'intérêt des étudiants. On a souvent l'occasion de devoir analyser des textes et je trouve ça plus triste comme outil pédagogique. Ça ouvre l'esprit au niveau artistique et culturel et aussi plus de champs de possibilité au niveau des analyses, peu importe le cours. Les profs devraient justement en abuser plutôt que d'éviter. »
texte de remplacement
Jessie Ventura
étudiante en communication sociale
« Ce qui peut intéresser avec le Coupe Circuit, c'est le sens moral des films. Quand on regarde un film, il faut pouvoir en retirer quelque chose. »
texte de remplacement
Djemma Simonyan
étudiante en communication sociale
« Il faut être au courant du monde qui nous entoure, des questions sociales puisque ça revient toujours en politique. Les documentaires permettent d'être au courant de ces enjeux. »
texte de remplacement
Maximilien Zabbara
étudiant en communication sociale
« C'est intéressant pour les étudiants de participer au Coupe Circuit car les films diffusés peuvent aborder des thématiques relatives aux problèmes qu'on peut rencontrer dans notre vie. »
texte de remplacement
Danick Noubissie
étudiant en communication sociale
« Le film est un très bon outil pour capter l'intérêt des étudiants. Ça ouvre l'esprit au niveau artistique et culturel et ça offre plus de champs de possibilité au niveau des analyses, peu importe le cours. Je trouve que les profs devraient justement en abuser. »
texte de remplacement
Marine Houioux
étudiante en communication sociale